Les lecteurs s'expriment...
Ils ont lu, ils ont aimé, ils en parlent... Florilège!
"Au loin grondait l’orage" est un petit bijou rayonnant de beauté et de sensibilité.
Nous retrouvons les personnages de « Philomène, Le sang de la terre», qui évoluent des années plus tard à Paris et en Corrèze au début du XXe siècle. MBM nous plonge dans un monde qui est en train de se transformer profondément, et elle le fait admirablement bien.
La société change, les idées changent. Je trouve qu’une des forces du roman c’est de montrer tous ces bouleversements et leurs répercussions mais aussi de peindre toujours avec élégance et délicatesse la vie parfois brutale et injuste des personnages. L’écriture est à la fois claire, précise et douce : c’est le style de MBM qui ne cesse de s’affirmer au fil de ses romans, pour notre plus grand bonheur.
Nous suivons les personnages animés par leurs passions et certains parmi eux sont grands, magnifiques et émouvants parfois même poignants, à l’image de Louis face à Blanche dans une scène où nous nous sentons alors frôlés par la caresse douce et pure de ce qu’est le véritable amour. L’évolution du personnage de Charlotte et la grandeur d’âme dont elle fait preuve sont également particulièrement touchantes.
C’est un très grand plaisir de lire ce roman, mais pas seulement. L’histoire et le destin de ces personnages auxquels on s’attache sont tellement captivants qu’il est vraiment difficile de refermer le livre à la fin. Merci infiniment pour ce grand moment de lecture.
Isabelle Lauzeral
Philomène est un roman que j’ai particulièrement apprécié. D’une écriture fluide l’écrivaine nous transporte dans une fresque époustouflante et pleine de rebondissements dans le pays corrézien de la fin du 19ème siècle. Il n’y a donc pas si longtemps, y a vécu travaillé aimé Philomène. Issue d’une famille de campagnards modestes elle y subit tout le poids des traditions familiales à la dureté ancestrale et le joug des notables régnant sur ces populations. Un récit de vie de femme au courage exemplaire, qui n’aura de cesse de s’émanciper par la lecture et l’observation des différentes couches de la population. Elle y risquera beaucoup de choses et devra franchir beaucoup d’étapes pour échapper aux vieux démons de l’obscurantisme et du poids de la religion. Philomène tour à tour sera meurtrie trahie encensée ou déconsidérée. La fragilité des petits acquis pour la liberté des femmes est ici sans cesse remis en question. Les conditions de vie, la pénibilité du travail et l’asservissement des femmes sous les contraintes de l’autorité masculine sont le quotidien de Philomène jeune fille blonde, belle, douce, forte et téméraire. C’est presque un roman à énigme qui nous tient en haleine de la première à la dernière page.
Aujourd’hui, à l’heure où malgré toutes les luttes de femmes pour gagner leur indépendance, leur libre choix de maitriser leur corps, nous devons nous pencher sur le destin de Philomène, nous réjouir de vivre à une époque plus juste pour nous les femmes mais devons également rester vigilantes pour que nos droits acquis si durement ne soient plus bafoués.
Muriel Batave-Maton est une écrivaine très talentueuse. Ce livre devrait être lu par notre jeunesse dans les collèges et lycées pour ne pas oublier.
Annie Decrocq
Et c’est encore une fois un excellent moment que j’ai passé à la lecture de « La queue du lézard » ! Confortablement installée au bord d’une grande piscine d’eau turquoise, au milieu des cris des enfants et des vacanciers de tout bord , je me suis laissée emportée loin de tout bruit, avec Anne, Mathieu, Pauline et les autres . On y reconnaît bien le style de l’auteure, limpide, précis, plein d’émotions, sans oublier les traits d’humour et son regard aiguisé sur le métier d’enseignant.
Merci pour ce moment de détente !
Petit clin d’œil au passage à « La maison de Jeanne » , lu au bord de l’océan cette fois qui m’avait permis de découvrir pour la première fois le Père Anselme, personnage tellement attachant dont la mémoire est évoquée dans ce roman aussi. Bonne lecture à tous !
Laurence Roumegoux
Je n'ai pas de livre préféré, pour dire la vérité : je les aime tous en bloc ! Tout bonnement parce-que pour chacun d'eux, je vis ce qui est écrit, ils sont tellement vivants que je rentre dans l'histoire comme on rentre dans un très bon film !
Jacqueline Godineau
Jacqueline Godineau
Un bon moment en compagnie d’Anne, une tranche de vie où l’on retrouve avec plaisir Chloé, Pauline, Jean, le père Anselme, mon chouchou ... et d’autres personnages dont Patricia, cette amie là...
Je n’en dirai pas plus, calez vous tranquillement dans un bon fauteuil, et laissez vous emmener vous aussi ! Merci Muriel, je me suis laissée happer et j'ai lu votre livre d’une traite !
Laurence Viazam
Sa part d'ombre, un excellent texte, plein de regards, d etendresse et d'amour dans l'infinie sensualité et le bonheur de la vie. Ecriture simple, pénétrante et qui vous transporte dans cet océan de plaisirs et de désirs. Je suis resté scotché...J'adore !
Julius Bienheureux
C'est beau, Muriel ce que tu écris dans sa part d'ombre.
Julie Buvat
Muriel, nous nous sommes rencontrées lors d'un salon à Réalmont et depuis je lis chacun de tes romans avec toujours autant de délectation. J'aime cette façon que tu as de raconter la vie qui pourrait être la mienne, la notre... Je marche dans les pas d'Anne et de Chloé, deux amies de toujours et dans ce dernier roman ( La queue du lézard) elles laissent peu à peu la place à la génération suivante Pauline et Mathieu qui j'aime à le penser réaliseront ce à quoi ils aspirent.... pourquoi pas dans un prochain roman. Merci pour ces moments de lecture qui me touchent.
Laurence Touzel
Ce jour là, à Albi. Dans une librairie où j'entre par hasard.....où non. Vous êtes là, attablée pour promouvoir votre dernier roman.
Alors je m'approche. Spontanément un échange chaleureux s'instaure, presque amical. On se livre un peu...mais pas trop. Je suis séduite et m'offre deux de vos romans : "La maison de Jeanne" et "Cette amie-là".
Je viens tout juste de les terminer et j'aurais tant aimé que l'histoire ne s'arrête jamais, tellement j'ai pu m'y promener avec bonheur.
Alors, juste merci pour m'avoir donné cette chance de vivre un beau moment de plaisir et d'évasion en ces temps si tristes et immobiles.
Josyane
Sa part d'ombre, un roman touchant qui fait réfléchir sur ce qu'est l'amitié et dans lequel chacun peut y retrouver une part de soi-même. Une belle oeuvre que je recommande.
Lauriane Mauriès
Muriel, j’aimerais savoir vous dire comment et combien j’ai aimé votre roman " Comme une colombe en plein vol". Je suis encore bouleversée par les émotions. Tantôt les relations humaines vécues ou presque, ce que j’ai appris de vocabulaire, votre écriture. J’espère pouvoir continuer à vous lire, pourriez-vous me guider pour le choix d’un autre de vos roman ?
Isabelle Morin-Desleau
La couverture Cette amie-là est belle, mais pas seulement ! L'écriture est soignée, claire et ciselée, les portraits sont subtils, l'histoire est belle. C'est un roman qui nous amène dans les chemins tortueux parfois, et lumineux pourtant, de la nature humaine, à la fois simple et profond. Merci !
Isabelle Ezer-Gal
Je me suis plongée dans tes livres comme on saute à l’eau du grand plongeon à la piscine municipale ! Avec envie, appréhension, et curiosité…Allais-je être surprise? Déçue? Amusée? Satisfaite?
L’univers de Sébastien, Chloé, Diane, et Anne bien sûr…m’est vite devenu familier et agréable, une bulle d’air pur dans mon été difficile… L’écriture est fluide, les personnages attachants.
Et puis, il y a eu « La maison de Jeanne ».
J’ai vite été happée par cette campagne corrézienne qui me parle, cette maison de Jeanne qui me renvoie à mon enfance et dont je connais même les odeurs, ce voyage à Rome que j’aspire à connaître, ce mystère à éclaircir …
Ah, le Père Anselme ! Oui j’aime cet homme, son côté bourru, son attachement fervent à ce bout de jardin…
Et Jeanne, cette femme qui nous ramène à un pan d’histoire peu glorieux, cette femme courageuse et forte, portée par des sentiments humains dans un monde qui ne l’était plus beaucoup, et qui va payer pour ça. ..
Alors, oui, c’était super bien, j’ai pris un bon bain de lecture et du coup, je veux bien y retourner…à la piscine !
Laurence Roumegoux
Je me suis régalée de lire La queue du lézard ! Le style est très agréable, soutenu, et l'histoire toujours aussi captivante.
Anne est presque une "grande sœur" pour moi. Sa sagesse et son recul sur la vie sont un exemple qui me font du bien.
Ce nouvel opus de cette magnifique saga amicale m'a une fois de plus embarquée dans la vie de ces personnages tellement proches de nous, de la vie. Nous devenons amis avec eux, et une nouvelle fois j'ai refermé le livre en me disant : "Non pas déjà !"
Félicitations !
Cécile Ducomte
Surchargée à la fois de travail et de lecture durant ces dernières semaines, je n’ai achevé que très récemment la lecture de votre roman « Au loin grondait l’orage ». Le geste le plus difficile était d’ouvrir le livre car, une fois commencé, je ne l’ai posé que tard dans la nuit pour le reprendre le lendemain dès l’aube et ce, jusqu’à la dernière page.
J’ai adoré les références historiques précises, les descriptions des métiers, la simplicité et la sincérité des personnages principaux, la peinture acide de certains protagonistes. Avant tout, c’est un univers émouvant de femmes qui découvrent, malgré leur condition de soumission, une véritable puissance née de leur solidarité bienveillante. J’ai beaucoup apprécié le message humaniste qui en ressort. Merci beaucoup pour ce beau voyage.
Et j’espère que cet excellent livre connaît le succès qu’il mérite.
Marie Auriol
Je prends quelques minutes ce soir pour vous donner mon avis après la lecture de votre livre.
Charlotte, Blanche, Charles, Germain, Philomène et tous les autres m’ont accompagnée avec beaucoup de bonheur . Une fois de plus, j’ai retrouvé votre style, le style « Muriel » qui nous permet d’être si proche de chaque personnage, de connaître leurs sentiments, leurs cheminements, leurs évolutions au fil du temps.
Effectivement, j’ai beaucoup aimé ce dernier roman, retrouver les personnages aimés, en découvrir de nouveaux . Et puis, vous avez le don de créer des situations inattendues, parfois cruelles et douloureuses mais qui nous font partager notre humanité avec la leur, amis de papier pourtant si réels…
Merci donc! Et surtout, remettez-vous vite à l’écriture !
Laurence Viazam
Recommandation de lecture du jour : "Philomène, le sang de la terre" de Muriel Batave-Matton. Un roman historique, qui nous ramène dans les dernières années du 19ème siècle, et enraciné dans la terre corrézienne, riche et âpre à la fois. Mais qu'on ne s'y trompe pas : "Philomène" est aussi une histoire universelle, dans laquelle les femmes tiennent une place de choix grâce aux nombreux personnages féminins, principaux ou secondaires, qui l'on peut suivre. En mettant en scène Philomène, Jeanne ou Charlotte, toutes luttant pour prendre leur destin en main, la fiction répare un peu des injustices de la vie et de la société, dont les femmes ont particulièrement fait les frais à travers les âges et sous toutes latitudes.
Antigone Longelin
J'ajouterai aux compliments de ces articles élogieux que les relations entre les personnages, qu'ils soient de la ville ou de la campagne, sont tour à tour pleines d'évidence puis source de rebondissements dans le récit... Muriel tu crées une véritable histoire, tu décris, intrigues, instruis et sais nous tenir en haleine. Je trouve ce 3e opus de la série très abouti et très cohérent dans ta démarche de porte-voix de ces générations de femmes fortes et intelligentes 🌹"
Geneviève Namy
Je vous écris pour vous remercier Muriel. J'ai depuis longtemps entendu parlé de vous par Isabelle, mon amie d'enfance qui m'a offert votre dernier livre.Je l'ai littéralement dévoré et adoré : L'histoire, Le style, Le vocabulaire riche, Les personnages attachants qui suscitent tour à tour empathie ou admiration.La recherche documentaire qui m'a permis d'apprendre des choses sur cette période qui m'attire tant !
Vraiment comme le suggérait la dédicace j'ai pris beaucoup de plaisir à voyager avec vous !!!
Merci beaucoup
Amicalement
Marilyne Lortet
C’est avec délectation et gourmandise que j’ai savouré et bu “Le sang de la Terre”.
À mon humble avis, ce chef-d’œuvre dépasse vos précédentes oeuvres qui pourtant m’ avaient bien captivée,
que de finesse dans la précision des portraits, des lieux, des situations et quelle sensibilité toute en sincérité !
Philomène, attachante figure paysanne, m’a émue car elle m’a rappelé une vieille tante occitane que j’aimais beaucoup et j’ai dévoré les pages de sa vie.
Toutes mes félicitations, chère Muriel pour votre écriture remarquable,
un seul regret …. à la fin du livre, je vais devoir me contenter d’accompagner Philomène… dans ses pensées près du cantou !
on attend un nouveau roman avec impatience.
Encore bravo et merci pour le bon moment que vous m’avez offert en lisant cette magnifique fresque régionale.
À mon humble avis, ce chef-d’œuvre dépasse vos précédentes oeuvres qui pourtant m’ avaient bien captivée,
que de finesse dans la précision des portraits, des lieux, des situations et quelle sensibilité toute en sincérité !
Philomène, attachante figure paysanne, m’a émue car elle m’a rappelé une vieille tante occitane que j’aimais beaucoup et j’ai dévoré les pages de sa vie.
Toutes mes félicitations, chère Muriel pour votre écriture remarquable,
un seul regret …. à la fin du livre, je vais devoir me contenter d’accompagner Philomène… dans ses pensées près du cantou !
on attend un nouveau roman avec impatience.
Encore bravo et merci pour le bon moment que vous m’avez offert en lisant cette magnifique fresque régionale.
Annette Rigade
Je viens de refermer le livre “Philomène le sang de la terre” et déjà je ressens un manque. Elle est si attachante cette Philomène. C’est à peine si on réalise la rudesse de ces temps anciens (pas si anciens finalement) tant les personnages sont esthétiques. On aimerait partager leur quotidien. Et puis j’ai aimé l’écriture soignée et sans emphase. Tout simplement j’étais bien avec ce livre.
Merci Muriel.
Ginou Capelle
Dans Comme une colombe en plein vol, nous fait vivre le chemin semé d'embûches d'Odette, jeune paysanne destinée à une vie de fermage. Parce qu'elle sait saisir les propositions de la vie , Odette s'envole vers une destinée inespérée pour elle.
Sous tendue par une trame historique qui fait écho à chacun d'entre nous , l'histoire d'Odette nous parle de libération, de féminisme,d'ascenseur social et d'espoirs en la vie .
Le coup de théâtre final de ce parcours particulier est totalement inattendu et fait de la lecture de ce roman un moment passionnant.
Sandrine Robert
Quel plaisir de lecture ! Dans « La queue du lézard », on se laisse emporter par l’écriture, à la fois légère et grave, au fil de la vie de personnages qui nous sont familiers et attachants, avec des portraits magnifiques, comme celui d’Adèle. Le monde actuel dans lequel ils évoluent nous est également finement dépeint, avec ses préjugés, la condescendance de certains, l’intolérance ou la lâcheté d’autres… mais aussi tout ce qui fait la beauté de la vie et de la transmission : c’est cela que j’aime particulièrement. On a toujours le sentiment que le regard d’Anne sur sa vie et le monde est à la fois empreint de lucidité, de gravité, de douceur, et que finalement elle nous adresse un clin d’œil ! Merci pour ce beau moment de lecture que l’on est loin d’oublier après avoir refermé le livre.
Isabelle Lauzeral
C’est à travers l'histoire, triste mais chaleureuse ; d’Odette, principal personnage du roman : "Comme une colombe en plein vol.…" que j'ai découvert récemment les écrits de Muriel Batave-Matton, talentueuse romancière. A ce propos, je tiens à la remercier vivement pour le plaisir qu’elle nous offre généreusement lorsqu’on lit ses belles histoires soigneusement écrites. En espérant pouvoir un jour l’inviter à la « Porte de la Fontaine » pour une causerie littéraire entre ami(e)s. Personnellement, j’apprécie beaucoup sa façon harmonieuse et subtile d’écrire. C’est par son style clair et simple, accessible et riche en descriptions que l'auteure est arrivée, sincèrement, à me séduire. Je viens de finir son deuxième roman en un temps record. C'est si beau ! Les événements dans les récits de Muriel sont si bien coordonnés et agencés, qu’on a l'impression de lire les anciens contes de fées où le lecteur est sans cesse en quête de la suite.
"Comme une colombe en plein vol.…", est un roman qui me touche particulièrement, je me sens associe à cette fresque majestueusement dessinée par l'auteure. Je me retrouve personnellement dans ce décor et je partage non seulement des sensations mais également certains des parfums dégagés par ce dernier. L'histoire en dehors de sa beauté et son élégance, est touchante et émouvante. On ne peut y être indifférent. L'auteure du roman a su choisir les expressions et le vocabulaire justes pour dégager autant de tendresse et de bien-être dans son écrit.
Dans le second roman : "la maison de jeanne", même si ce dernier ne dégage pas, à mon sens, la même charge émotionnelle que le 1er roman, cela s'explique par mon ressenti de lecteur : Dans "Comme une colombe en plein vol.…", nous sommes invités à accompagner durant toute l’histoire, l’adorable Odette, une gamine pauvre mais déterminée et courageuse pour laquelle nous éprouvons naturellement de l’empathie et de la sympathie. Et, dans le second livre, on se retrouve avec une adulte plus ou moins aisée.
Néanmoins, l'histoire : « la maison de Jeanne » reste fascinante, passionnante et même intrigante, Dès lors que nous plongeons dans la lecture de ce roman, il est difficile ensuite de s'en extraire. Le personnage d’Anne principale figure de ce dernier roman, inspire une certaine curiosité ; celle d’en savoir un peu plus sur cette femme singulière toujours à la recherche de « quelque chose » …
La maîtresse ou l’enseignante, personnage symbolique qui revient dans les deux romans, nous livre indirectement quelques indices sur l’auteure.
Je vous laisse le soin de découvrir par vous-même cette saga merveilleusement écrite par Muriel Batave-Matton…
Porte de la Fontaine - Toulouse
A ma première lecture de la maison de Jeanne, je me souviens avoir ressenti chez Anne un sentiment profond d'appartenance à ce lieu, à ce monde à ces racines, c'est bien ça ! Elle était sur la terre et les lieux de ses ancêtres, de ses racines profondes, du monde auquel elle appartient, voilà ce que j'ai ressenti !
Jacqueline
Il faut suivre Odette dans son parcours de la Corrèze jusqu’à Paris des épreuves, une vie dure et beaucoup d’émotions. Merci Muriel Batave-Matton.
Robert Gauthier
Je viens de terminer "la maison de Jeanne".
personnage fort,,rencontre de l'Histoire et de l'histoire personnelle ,suspens ...tout converge dans le plaisir d'accompagner Anne figure féminine attachante même quand c'est l'ignominie qui écrit l'Histoire ...et la brutalité masculine le destin des femmes comptables et rédemptrices de la condition humaine à travers la mémoire retrouvété..
Au cœur du récit,un meuble veille....cette "horloge pleine du temps arrêté " et qui va enfin pouvoir redonner vie à cet intérieur qui est l'intérieur même de l'héroïne ..
histoire feminine .ôu seul le père Anselme fait écho à l'horloge ,comme jardinier-passeur du temps passé à l´avenir enfin humain.
merci pour ce plaisir
Jean-louis Auzan
Comme une colombe, Les tilleuls mentent, des livres que l'on ne lâche plus dès la première page. Une écriture dense, fluide, des histoires empreintes d'authenticité et de beaucoup d'humanité. Bravo !
Jean-Pierre Jouffroy
J'ai beaucoup aimé Cette amie-là que j'ai dévoré !
André Gannevat
Sa part d'ombre! Ce roman est plus que joli! C'est puissant et fragile à la fois, d'une douleur sereine. On ose à peine respirer pendant la lecture, de peur de faire fuir la petite parcelle d'espoir qui malgré tout affleure...
Geneviève Namy
Alors que j'étais désespéré de me séparer de plusieurs centaines de bouquins, l'ironie me fait retrouver une amie enseignante qui de professeure de lettres est devenue femme de lettres. Auteure de plusieurs histoires qui font vivre des sentiments intenses entre les personnages de ses livres, Muriel Batave-Matton nous transporte dans des ailleurs aux goûts exquis. Ne manquez pas sa page et découvrez ses oeuvres car elle a trempé sa plume dans le talent.
Serge Méry
Bonjour, je vous ai rencontré au salon du livre , à Naucelle …. et j’ai fait connaissance avec vous …je ne connaissais pas vos livres et votre dernier livre …Cette amie-là m’a énormément plu , je l’ai lu en 3 jours …il décrit bien les relations toxiques et cela me parle …. j’en ai connu …..
ce livre est reposant , simple , l’essentiel y est ….je me suis régalée…. . Je pense que je vais acheter vos livres précédents … votre livre m a fait du bien …. Merci ….
je serai attentive à la parution de votre prochain roman…..Bonne continuation……
Bonjour Chantal. Pardonnez tout d’abord ma réponse tardive. J’ai eu quelques soucis informatiques et il m’a fallu changé d’hébergeur. Un grand merci pour ce retour! Je suis ravie que « Cette amie-là » vous ait plu. Je serai de nouveau au Salon du livre de Naucelle cet été, le 4 août et j’espère avoir le plaisir de vous y retrouver. N’hésitez pas à me recontacter si besoin. Bien cordialement.
Comme à chaque fois, l’auteure assoit son histoire en Corrèze pour notre plus grand plaisir.
Cette fois-ci elle nous dresse avec talent une représentation sociétale et un portrait de mœurs.
L’action se passe dans la campagne limousine de la fin du XlX ème siècle.
Le personnage principal est une jeune paysanne Philomène qui est placée en qualité de domestique chez des notables.
C’est son aventure qui y est relatée.
L’utilisation du patois local donne de la réalité au récit et plonge le lecteur dans l’ambiance du roman qui semble ainsi plus vrai et est rendu également plus intéressant.
C’est un livre à offrir. Il fait passer un bon moment et on le lit de bout en bout.Tout le monde aime ce personnage : des domestiques aux notables.
On a envie de voir vivre cet amour naissant entre Philomène et le monsu.
L’histoire est captivante même si elle est dramatique.
Le style est concis, soigné et rythmé.
J’en ai commandé un pour ma maman qui est corrézienne et qui va adorer j’en suis certaine. Nathalie MOUSSEEFF, une lectrice conquise.
Chère Muriel, enfin j’ai pu me poser et partager la vie de Philomène. J’ai bien sûr encore une fois apprécié ton écriture , ton style limpide, et la richesse des émotions que tu donnes à vivre par tes mots si justes.
Que dire à de futurs lecteurs ?
Une histoire bien ficelée, des personnages très attachants, chacun dans sa complexité, des surprises jusqu’au bout, et une pincée de patois Limousin pour bien rappeler au lecteur où il se trouve !
Lisez, évadez-vous et partagez les émotions de Philomène, Louis, Jeanne, Germain, Louise et les autres!
Bises Muriel ! Poursuis vite ton œuvre!
Merci pour ce retour Chère Laurence et merci aussi de faire ma pub! « Ceux qui ont aimé parlent à ceux qui vont aimer! » Plus sérieusement, je me réjouis que l’histoire de Philomène t’ait conquise jusque dans ses détails. Bien évidemment,je continue puisque vous êtes nombreux à m’y inviter et te livre en confidence que mon prochain roman sera une suite de « Philomène, Le sang de la terre » et, une fois n’est pas coutume, fera la part belle aux hommes. Nous retrouverons dans ce récit qui débute en 1905, Germain, le jeune palefrenier, amoureux éconduit de Philomène ainsi que Charles et Louis devenus adultes. Trois hommes que tout oppose dont les destins se croisent et convergent vers le tumulte de la Grande Guerre.
Il m’est bien évidemment difficile de dire quand ce 9ème opus paraîtra mais comme tu peux le constater, j’y travaille avec constance, détermination et un très grand plaisir! 😉
Je viens de refermer le livre « Philomène le sang de la terre » et déjà je ressens un manque. Elle est si attachante cette Philomène. C’est à peine si on réalise la rudesse de ces temps anciens (pas si anciens finalement) tant les personnages sont esthétiques. On aimerait partager leur quotidien. Et puis j’ai aimé l’écriture soignée et sans emphase. Tout simplement j’étais bien avec ce livre.
Merci Muriel.
Quel joli commentaire, Ginou!. Créer un manque chez ses lecteurs c’est le désir souvent inavoué de celui ou celle qui écrit. Merci pour vos mots qui me touchent énormément.
Philomène est un roman que j’ai particulièrement apprécié. D’une écriture fluide l’écrivaine nous transporte dans une fresque époustouflante et pleine de rebondissements dans le pays corrézien de la fin du 19ème siècle. Il n’y a donc pas si longtemps, y a vécu travaillé aimé Philomène. Issue d’une famille de campagnards modestes elle y subit tout le poids des traditions familiales à la dureté ancestrale et le joug des notables régnant sur ces populations. Un récit de vie de femme au courage exemplaire, qui n’aura de cesse de s’émanciper par la lecture et l’observation des différentes couches de la population. Elle y risquera beaucoup de choses et devra franchir beaucoup d’étapes pour échapper aux vieux démons de l’obscurantisme et du poids de la religion. Philomène tour à tour sera meurtrie trahie encensée ou déconsidérée. La fragilité des petits acquis pour la liberté des femmes est ici sans cesse remis en question. Les conditions de vie, la pénibilité du travail et l’asservissement des femmes sous les contraintes de l’autorité masculine sont le quotidien de Philomène jeune fille blonde, belle, douce, forte et téméraire. C’est presque un roman à énigme qui nous tient en haleine de la première à la dernière page.
Aujourd’hui, à l’heure où malgré toutes les luttes de femmes pour gagner leur indépendance, leur libre choix de maitriser leur corps, nous devons nous pencher sur le destin de Philomène, nous réjouir de vivre à une époque plus juste pour nous les femmes mais devons également rester vigilantes pour que nos droits acquis si durement ne soient plus bafoués.
Muriel Batave-Maton est une écrivaine très talentueuse. Ce livre devrait être lu par notre jeunesse dans les collèges et lycées pour ne pas oublier.
Bonjour, J’ai profité de cette première semaine de vacance pour lire votre dernier roman et je l’ai vraiment adoré !! J’ai beaucoup apprécié ce retour dans le temps, cette immersion dans une autre époque avec ses traditions, ses métiers, ses règles. Le destin de ces femmes et même des divers protagonistes, leurs histoires d’amour m’ont paru très touchantes et ont rendu le roman captivant. Les personnages sont attachants. La dimension historique de ce roman m’a vraiment beaucoup plu, j’ai eu l’impression d’être plongée dans un autre univers. C’était super et temporellement dépaysant ! Merci beaucoup pour cette lecture.
Un régal de lecture avec Philomène ! Et toujours cette belle écriture, celle que j’avais appréciée dans vos romans précédents !
J’ai croqué votre dernier livre, Philomène Le sang de la terre comme une belle pomme et je l’ai savouré.
Merci !
C’est avec délectation et gourmandise que j’ai savouré et bu « Le sang de la Terre ».
À mon humble avis, ce chef-d’œuvre dépasse vos précédentes oeuvres qui pourtant m’ avaient bien captivée,
que de finesse dans la précision des portraits, des lieux, des situations et quelle sensibilité toute en sincérité !
Philomène, attachante figure paysanne, m’a émue car elle m’a rappelé une vieille tante occitane que j’aimais beaucoup et j’ai dévoré les pages de sa vie.
Toutes mes félicitations, chère Muriel pour votre écriture remarquable,
un seul regret …. à la fin du livre, je vais devoir me contenter d’accompagner Philomène… dans ses pensées près du cantou !
on attend un nouveau roman avec impatience.
Encore bravo et merci pour le bon moment que vous m’avez offert en lisant cette magnifique fresque régionale.
La lecture de « Philomène » tient en haleine de bout en bout. Nous suivons l’histoire poignante et le destin de ce personnage lumineux tracés par l’écriture dense et élégante de Muriel Batave-Matton.
C’est un livre remarquable où les personnages sont dans le même temps entiers et à multiples facettes. En effet, il n’y a pas les bons d’un côté, les méchants de l’autre. Ce sont de beaux personnages attachants ancrés dans leur époque, leur milieu, leur sexe. On est heureux, une fois le livre fermé, d’avoir cheminé à leurs côtés dans cette terre corrézienne du XIXe siècle.
La nature, les êtres, l’histoire, l’écriture, tout est beau et fait un touchant écho aux vers de « Tristesse d’Olympio ». C’est un livre qui aurait sans doute bien plu à George !
Petit bonheur du matin, découvrir que le livre que l’on a écrit a rendu heureux! Merci pour ce retour chère Isabelle! Et merci aussi d’avoir évoqué ces si beaux vers de Victor Hugo placés en exergue du roman:
Dieu nous prête un moment les prés et les fontaines,
Les grands bois frissonnants, les rocs profonds et sourds
Et les cieux azurés et les lacs et les plaines,
Pour y mettre nos coeurs, nos rêves, nos amours ;
Puis il nous les retire. Il souffle notre flamme ;
Il plonge dans la nuit l’antre où nous rayonnons ;
Et dit à la vallée, où s’imprima notre âme,
D’effacer notre trace et d’oublier nos noms.
Victor Hugo
Tristesse d’Olympio
Juste pour vous dire que je suis une lectrice assidue de tous vos livres.
Je regrette de ne pas être là pour le salon du livre, j ‘espère pouvoir quand même avoir un jour une dédicace…… à quand le prochain ?
Marie – Ange
Un très grand merci pour votre message si gratifiant, Marie-Ange! Je suis très heureuse de vous compter parmi mes fidèles lectrices. Pour répondre à votre question sur mes projets, je termine actuellement, l’écriture de mon nouveau livre qui devrait paraître, compte-tenu des délais de relecture et de publication, dans le premier trimestre 2022. Puisque vous avez aimé mes autres opus, je pense que celui-ci devrait vous plaire aussi.J’y raconte la jeunesse de la Mamée Philomène, rencontrée dans « Comme une colombe en plein vol.. » Je ne devrais pas le dire mais je suis très contente de ce que j’ai écrit, sans doute ce que j’ai fait de mieux jusqu’ici. Vous y trouverez beaucoup d’émotion, du suspense, une réflexion sur la vie…et une part plus grande laissée aux hommes. A l’un d’eux en particulier.
Je regrette que nous ne puissions nous rencontrer à Réalmont ce dimanche, mais ce n’est que partie remise. Je serai à Cépet, près de Toulouse le week-end du 27 et 28 Novembre, la semaine suivante à Carmaux, puis je participerai au Marché de Noël de La Fouillade, dans l’Aveyron, le dimanche 19 Décembre. J’annoncerai bien sûr toutes ces dates sur mon site au fur et à mesure!
En attendant de vous voir à l’une de ces occasions peut-être ou lors de la signature du nouveau bébé dont je n’ai pas encore le titre, je vous souhaite de belles journées automnales!
Très cordialement,
Muriel
Laissez-vous porter par les romans de Muriel.Ils ont la saveur du terroir,le goût de l’authenticité.
Personne mieux qu’elle ne sait vous rendre aussi sensible un goût,une odeur,le son d’une démarche cahotante…
Chacun de ses romans nous entraîne dans un milieu particulier,propre à éveiller toutes les sensations.A travers des détails,des anecdotes particulièrement bien choisis,les paroles d’une chanson,la saveur du patois,qui crée chez le lecteur un écho du passé,c’est une véritable plongée dans un monde à part dont elle parvient,grâce à son talent à imposer la présence.
Muriel se révèle également un admirable peintre de l’âme humaine dont elle sait percer tous les ressorts secrets,le tout sous un oeil indulgent et ironique qui sait nous rendre sympathiques même les personnages les moins recommandables.
Et puis,elle possède ce style unique,reflet exact de la réalité sous tous ses aspects.
Sa phrase se déroule,ample et mélodieuse,apte à décrire tout aussi bien le fil des pensées d’un personnage que les aspects hauts en couleur d’un paysage qui s’impose peu à peu à nos yeux émerveillés.
Lire les romans de Muriel,c’est s’évader d’une réalité souvent bien décevante tout en approfondissant notre connaissance de l’âme humaine qu’elle connaît mieux que personne.
Merci,Muriel,pour ces moments privilégiés que tu nous offres et continue à nous enchanter par tes écrits.
Muriel est une femme qui ne laisse pas indifférent. Sa voix et son phrasé si agréable participent à un charme naturel et à une personnalité avenante. Son sourire et son rire franc et communicatif le confirment. Son discours, si bien servi par sa diction est accrocheur. On y retrouve son intelligence, sa culture, son humanité mais aussi ses doutes et ses failles qui seront la « matière » de son écriture.
J’ai adoré son portrait sur ce site. J’avais l’impression d’être en face dans la pièce !
Je suis très heureux d’avoir croisé ton chemin. Je suis certain que tu réserves de belles surprises à tes chers lecteurs !
Sincèrement.
Philippe.
Je ne sais dire combien ce message d’amitié me touche, Philippe!
Merci infiniment d’avoir pris le temps de partager ce moment d’intimité, « soulevé les mots » des petits papiers et si bien écouté et entendu entre les lignes.
Muriel
Bonjour Muriel,
J’écris moi-même quelques ouvrages « Biographic-historiques ». Originaire de Rabastens je vis en Région parisienne depuis une trentaine d’années. Je trouve votre site particulièrement bien fait. Pouvez-vous m’indiquer si vous l’avez fait vous même ou si vous avez fait appel à un professionnel.?
Merci
Bien confraternellement
Jean Marie
Bonjour Jean-Marie,
Pour répondre à votre question sans détours, j’ai fait appel à un professionnel et plus précisément à David Milh, photographe à Réalmont, place de la République, avec qui j’ai eu un très grand plaisir à travailler. C’est quelqu’un de confiance, réactif, à l’écoute de vos besoins et d’une grande patience.
N’hésitez pas à le contacter via son site: http://www.furtives.net et sur Facebook: Le Photographe-Furtives.
Bien cordialement,
Muriel
Interview très intéressante. Je partage un certain nombre de choses que vous énoncez. Je suis professeur documentaliste en collège et ai un rôle de médiatrice entre le livre et l’élève, je vous ai écouté avec beaucoup d’intérêt à ce sujet. Je regrette que vous soyez si loin, je vous aurais invitée avec plaisir pour une rencontre avec nos élèves sur le bonheur de lire, ou pour un atelier d’écriture avec une classe.
Et je serais venue avec un très grand plaisir!Merci infiniment pour ce retour et la confiance que vous me témoignez, Elisabeth!
Une belle nouvelle rencontre que celle-ci, rendue possible par votre site flambant neuf.
Vous savez mon estime pour vos écrits, notamment votre capacité certaine à étirer, jusqu’à notre époque, le précieux fil littéraire de la bonne dame de Nohant, dont aimer cultiver le ton, la voix et les préoccupations.
Amitiés confraternelles,
Une fois de plus, vous me faites beaucoup d’honneur et cette reconnaissance me touche infiniment. En espérant vous croiser à nouveau très vite puisqu’il semble que les affaires reprennent. Avec mon amitié,
L’interview est sincère et vivante !
les extraits des oeuvres de l’auteure donnent envie d’en découvrir davantage, et je sais , pour avoir lues celles-ci, qu’il n’y a aucune déception à craindre !
excellent moyen de communication pour tenir les lecteurs au courant !
Bravo et merci pour les prochaines lectures attendues !
Jacqueline BROUSSE
Un grand merci, Jacqueline, pour cet enthousiasme et cette ferveur touchante. Un peu de patience pour le prochain roman sur lequel je travaille activement! 😉
Muriel, quel plaisir que de vous voir et vous entendre ! Vos romans vous ressemblent ! Très beau site ! et merci d’y avoir déposé mon petit commentaire.
Bonsoir Isabelle!
Dans l’avant-propos de « La queue du lézard », je dis justement que si nous sommes assurément les livres que nous lisons, nous sommes a fortiori ceux que nous écrivons. Et donc, j’espère bien que mes livres me ressemblent! Merci d’ attacher à mes livres, la notion de plaisir. Cela me touche infiniment. Et merci de partager mon univers! A très bientôt, chère déjà fidèle lectrice!
Je viens de découvrir ce qui se cache dans les « petits papiers »… par petites touches, tout y est ! prof, Corrèze, George (sans s ! ), élue, épouse, fille, orthographe (et son élégance…), partage, bêtes, idées de lecture. Le tout dans un décor feutré et moelleux, le « cocon ». Merci Muriel pour ces confidences pleines de retenue, sur un ton qui se retrouve dans tes livres… amusement, clins d’oeil, authenticité, conviction et générosité. Bravo pour l’ensemble du site !
Geno-« oeil de lynx »! En confidence, ces « petits papiers »sont une idée de David Milh qui a peaufiné le sujet avant le tournage. J’ignorais totalement le contenu des questions d’où un démarrage un peu incertain qui ne t’a sans doute pas échappé. Alors oui, comme dirait Hugolin: « C’est de l’authentique »! 🙂
Bravo Muriel ! Un site sobre et élégant qui invite à découvrir davantage l’auteur et ses œuvres. Félicitations pour cette belle démarche et ce qu’elle promet dans l’avenir. Caroline Caroline
Un très grand merci, Caroline, pour ces paroles gratifiantes et vos encouragements qui me touchent beaucoup.Donc, c’est dit, on reste en contact! 😉
Très beau site, Muriel, qui donne envie de mieux connaître ton oeuvre. Je t’embrasse. Sylvie
Je ne te cache pas que c’était un peu l’idée. Moi aussi, je t’embrasse.
Félicitations pour ce site tout en élégance à l’image de Muriel Batave-Matton et qui nous permet de mieux découvrir son univers et ses romans !
Merci pour ce retour, Isabelle! Permettre de faire découvrir l’univers de mes romans était l’objectif premier, en effet. David Milh m’a aussi offert un bel écrin dont je suis très fière!
Un site élégant, pudique qui livre quelques secrets sans vraiment tout dévoiler…
Des fenêtres que l’on ouvre avec émotion quand on connaît un peu la romancière…
Le plaisir sans cesse renouvelé de l’écouter nous parler dans l’interview des petits papiers.
Une autre corde à ton arc, ma chère Muriel : tout est beau dans ce site et respire l’apaisement de l’âme, tu as trouvé ta voie…
Je t’embrasse,
Martine
Merci infiniment pour ce retour, Martine! Je suis en effet très heureuse d’être enfin en possession d’un bel outil à la fois mémoire de mon travail et lieu d’échanges et de partages. Je t’embrasse aussi très fort!
Félicitations Muriel très beau blog et j’ai adoré l’interview!
Merci Marie-France! David Milh, mon webmaster préféré a fait du beau travail. 🙂
Très joli site pour de très jolies histoires ! Mention spéciale à « Comme une colombe » qui est mon préféré, on se laisse porter par le flot de la lecture. Hâte d’en découvrir plus dans les prochains romans !
Merci Pierre, fidèle lecteur entre les fidèles! Mon prochain roman permettra de retrouver l’atmosphère de « Comme une colombe… » et surtout le personnage de La Mamée. Un peu de patience est encore nécessaire cependant!
Très heureuse de découvrir ce site à la hauteur de la romancière qu’il met en valeur. Hâte de découvrir ce que Muriel Batave-Matton nous prépare pour la suite !!
C’est très gentil, Janick! David Milh a effectivement fait un travail remarquable, au sens premier du terme, et qui me ravit. Comme je l’explique dans « l’interview des petits papiers », je travaille activement sur une autre histoire bien évidemment chargée d’émotions, ma marque de fabrique!;)
Ces pages sont une fenêtre vers des espaces encore inconnus, la carte d’un étrange territoire.
Un territoire pas si étrange en fait puisqu’il s’étend sur la diversité des émotions humaines.
… et cela nous est tantôt familier, tantôt mystérieux.
C’est juste! 🙂